Nos Chouhada ne sont comme vos criminels

Ce qu’avait dit un responsable français au sujet des crimes du colonialisme, en Algérie, précisant qu’il y a eu des criminels des deux côtés, fait mal à chaque citoyen algérien. Sans vouloir mettre à profit cette occasion pour évaluer le degré de l’attachement de chaque citoyen à son pays. C’est une mission qu’on laisse au pouvoir, aux partis politiques et aux organisations qui gravitent autour d’eux et dont aucune trace n’est trouvée, dans les vrais moments ou quand il s’agit de défendre notre mémoire nationale. DRS

dimanche 13 juin 2010

Conseil national de la révolution algérienne

Le CNRA créé en juillet 1954 au Congrès d'Hornu (Belgique), est une structure institutionnelle d'État, législative, exécutive et dépositaire de la souveraineté du peuple algérien pendant les hostilités franco-algériennes. Il sera jusqu'à l'indépendance de l'Algérie, une institution parlementaire représentative officielle pour le gouvernement français.[1] Il créera en outre le découpage du territoire national révolutionnaire en six wilayas,.

Histoire

la France reprochant l'absence de représentants légitimes pour entreprendre des négociations, le FLN constitue un gouvernement provisoire de la future république algérienne, le MTLD qui sera refondu en juillet 1954 au Congrès d'Hornu (Belgique), et donner naissance au CNRA.

Bureau

Le bureau du CNRA sera composé de 34 membres dont :

Mohamed Seddik Ben Yahia : président
Omar Boudaoud : premier assesseur
Ali Kafi : second assesseur
Saïd Mohammedi
Mohamed Boudiaf
Hocine Aït Ahmed
Saad Dahlab
Abdallah Bentobbal
Krim Belkacem
Benyoucef Benkhedda
Ahmed Ben Bella
M'Hamed Yazid
Mohamed Khider
Rabah Bitat
Ferhat Abbas.

wikipedia

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